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7 février 2013

Vivès / Ruppert & Mulot : La grande Odalisque

"Alex et Carole sont deux cambrioleuses de haut vol, séduisantes et sans complexes, capables d'aller chercher n'importe quel tableau dans n'importe quel musée. À la recherche d'un chauffeur, elles rencontrent Sam, une championne de moto aux multiples talents. Le trio qui vient de naitre est appelé à entrer dans la légende..."  (ce qui est bien, c'est qu'ils ne doutent de rien chez Dupuis...)
 
A sa sortie, j'avais feuilleté la BD et l'avais reposée, rebutée par le graphisme et surtout les couleurs. A la lecture, je pense que je n'avais pas eu tort. La BD était "vendue" comme jeune, moderne, fun ; l'ennui c'est que c'est plutôt vide. Tout est dans le mouvement, dans les corps, alors ça va vite et c'est totalement invraisemblable (je n'ai rien contre l'invraisemblable, mais quand il n'y a pas vraiment d'histoire, on ne retient que ça). Les personnages "jeunes,modernes, sexy" sont tout sauf attachantes. S'il y a du deuxième degré, il est bien caché. J'ai bien aimé le début (le vol au Musée d'Orsay), mais bien vite j'ai tourné les pages assez rapidement.
Ce que j'ai retenu, c'est la cascade à moto sur la pyramide du Louvre. Au ciné, ce serait sûrement bien.

 

3 février 2013

Angoulême : Bastien Vivès et Lescop

"Les concerts dessinés figurent parmi les animations les plus originales du festival d’Angoulême, dont le palmarès sera proclamé ce dimanche 3 février. Particulièrement quand Bastien Vivès illustre en direct le concert de Lescop. Dans la salle du Nef, à quelques kilomètres du centre-ville d’Angoulême, le dispositif est simple. Bastien Vivès (Le goût du chlore, Polina) est monté sur une estrade ; son dessin est filmé et projeté sur un grand écran derrière Lescop et ses musiciens. C’est parti pour une heure de concert dessinée, une animation mise en scène par Esprit musique et d’autant plus prisée ce samedi 2 février qu’elle met en scène deux talents émergents de la scène française, l’un en musique, l’autre en bd À chaque morceau, c’est le même rituel : Bastien Vivès bat la cadence quelques instants, comme pour s’imprégner de l’ambiance du morceau, et il dégaine. Il ressemble à un joueur de synthé des années 80, le corps totalement immobile, à l’exception de sa main droite qui dessine avec une célérité incroyable.